A l'instar du photographe sud-africain Billy Monk qui immortalisait les soirées de Cape Town à la fin des années 1960, le jeune photographe italien (1981) Michele Sibiloni arpente
Michele Sibiloni |
Les éditions Patrick Frey à Zurich en on fait, en 2016, un bel ouvrage intitulé sobrement Fuck it (Softcover, 128 pages, 66 images couleur, 17,7 x 25 cm, textes de David Cecil).
Son site web ICI.
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Michele Sibiloni poursuit ses aventures nocturnes sur son blog Ballets and Kidnappings dont voici quelques extraits. Ballets: j'imagine que cela renvoie à toutes les danses auxquelles le photographe a assisté, toutes les chorégraphies de séduction, les trajectoires incertaines des bourrés, le pas de la grue couronnée au petit matin; Kidnappings: pour raconter comment il se fait embarquer dans les soirées, pour suggérer la force de cet appel de la nuit, son attractivité ?
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